Vous pensez connaître la Bretagne sur le bout des doigts ? Attention, Lorient pourrait bien chambouler tout ce que vous croyez savoir. Ici, on ne se contente pas de galettes et de cidre, oh non. Dans cette ville portuaire, les assiettes ont du caractère et les papilles voyagent plus qu’un marin en escale (et sans le mal de mer).
Vous cherchez où casser la croûte avec panache ? Vous êtes au bon endroit. À Lorient, on mange bien, on mange local, et surtout on mange avec plaisir.
Le coin regorge de pépites pour les gourmands en quête d’authenticité. Des trésors salés, sucrés, exotiques parfois, mais toujours avec ce petit goût de reviens-y (vous êtes prévenus).
Alors, prêt(e) à sortir des sentiers battus du kouign-amann pour découvrir des vraies spécialités qui envoient du lourd ? Vous n’allez pas regretter d’avoir cliqué ici !
La tour de Pise débarque et vous fait voyager sans quitter Lorient
Bonne nouvelle pour les fans de pasta et de dolce vita : La tour de Pise ouvre une boutique en plein cœur de Lorient. Oui, vous avez bien lu. Plus besoin de booker un billet pour Rome ou Florence pour goûter à des saveurs authentiques (et sans faire la queue au Colisée).
En mode traiteur italien à Lorient, ils balancent des antipasti qui claquent, des lasagnes maison qui réconcilient avec la vie, et des tiramisus qui mériteraient un Oscar (surtout celui aux fruits rouges, un vrai bijou). Tout est fait main, avec des produits choisis aux petits oignons directement chez des producteurs italiens (vous sentez déjà le basilic et le parmesan ?).
C’est l’adresse à noter sur votre téléphone, celle qui sauve les déjeuners pressés, les dîners entre amis, et même les dimanches soir sans inspiration (vous voyez très bien de quoi je parle). Bref, un petit morceau d’Italie à portée de fourchette. Et franchement, qui dirait non ?
La cotriade, le plat breton qui ne fait pas semblant
Quand vous débarquez à Lorient, il y a un truc qu’il faut absolument goûter : la cotriade. Ce plat typique, c’est un peu la version bretonne de la bouillabaisse (mais sans les airs du Sud et avec beaucoup plus de caractère).
La cotriade, c’est simple : plein de poissons frais (bar, maquereau, congre, ça dépend un peu de la pêche du jour), des pommes de terre fondantes, des oignons, et un bon bouillon parfumé. Rien de tape-à-l’œil, tout dans le goût.
On en trouve dans pas mal de restos de Lorient et du coin (et franchement, chacun a sa petite recette secrète). Parfait pour se réchauffer après une balade sur la côte, ou juste pour se donner bonne conscience en se disant qu’on mange du poisson (ça compte comme healthy, non ?).
Et puis entre nous, un grand bol de cotriade fumante, avec un bon verre de blanc sec, ça remetrait d’aplomb même un lundi matin un peu rude.
Le far breton, ce dessert qui a tout compris
On peut parler deux minutes du far breton ? Ce dessert ne paye pas de mine au premier regard, mais il cache bien son jeu (un peu comme votre collègue discret qui gagne au loto en secret).
À Lorient, le far breton, c’est une institution. Moelleux, parfumé à la vanille (ou au rhum, si on veut faire les choses bien), parfois blindé de pruneaux (équipe pruneaux ou sans pruneaux, grosse question existentielle), c’est LE truc à grignoter après un repas ou avec un bon thé.
Beaucoup de boulangeries en font des versions maison ultra généreuses (on parle de vrais morceaux, pas de miettes perdues dans la pâte). Et si vous passez dans un marché du coin, impossible de louper ces grosses parts dorées qui vous font de l’œil.
Bref, le far breton, ce n’est pas juste un gâteau, c’est un câlin en version comestible (et votre moral vous dira merci).
Les niniches de Quiberon, la petite douceur à emporter partout
Alors oui, Quiberon n’est pas exactement Lorient, mais franchement, quand on voit ce qu’ils y font, on peut bien élargir un peu le périmètre. Les niniches, ce sont ces fameuses sucettes au caramel ou aux fruits, nées dans les années 40 et toujours aussi populaires (et pas qu’auprès des enfants).
À Lorient, vous pouvez en trouver dans quelques bonnes épiceries ou directement dans les marchés (astuce : toujours en acheter plus que prévu, elles partent vite). Croquer dans une niniche, c’est un retour immédiat en enfance, sans passer par la case photo de classe.
La texture est entre le caramel tendre et la sucette dure, bref un vrai bonheur (surtout celle au beurre salé, sérieusement). Parfait pour une pause sucrée après une virée en bateau, ou juste pour garder un petit goût de vacances au fond de la poche.